lundi 26 juillet 2010

Vinomedia.tv se positionne en tête


Près de 3 mois d’intense activité et notre web-tv, VNOMEDIA.TV, se positionne déjà en tête sur son secteur !
Des dizaines de vidéos en ligne pour aborder les thèmes du vin, de la gastronomie et du tourisme.
Principalement dédiée à la région Rhône-Alpes, notre chaîne Thématique va se développer sur tout le territoire grâce à des partenariats sur les autres régions de France.
L’objectif est de devenir à court terme la chaîne incontournable sur internet, en vous apportant des reportages, des émissions en direct, des débats, mais surtout vous montrer tout ce qu’il y a de meilleur dans les produits du terroir, les meilleurs restaurateurs fidèles aux traditions culinaires, et les paysages de France à découvrir.
Vous êtes déjà nombreux à adhérer à notre chaîne thématique VINOMEDIA.TV. Vous pouvez également devenir adhérent en vous inscrivant gratuitement à notre web-tv. Ainsi, vous serez informé des nouveautés, des projets, et même invité à des manifestations comme des
dégustations avec des producteurs.
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Rejoignez VINOMEDIA.TV et appréciez les bonnes choses de la vie.

Benoit Escoffier
Contact presse : bescoffier@vinomedia.fr

lundi 19 juillet 2010

Crise viticole ? peut-être pas pour tout le monde


Depuis des années, nous justifions la crise viticole Française par une réglementation intérieure trop stricte, et un laissé faire général chez nos voisins ou dans les pays du nouveau monde. La concurrence

Crédit Photo : China Design
étant de ce fait déloyale, il nous est difficile de lutter, bien évidemment.
Et si nous étions moins bons que les autres au niveau commercial ?
Et si c’était cela la raisonde nos difficultés ?
J’entends ici et là des commentaires élogieux sur nos exploits
commerciaux lors de l’exposition universelle de Shanghai, et c’est
encourageant.
Des représentants de régions viticoles ont fait le
déplacement pour assurer la
promotion de leur vins et de leurs vignerons.
Bravo, à condition que l’on prévoie aussi des dégustations, ce qui n’a pas été le cas pour tout le monde à en croire certains participants. Une participation à une exposition universelle, cela se prépare car l’événement n’arrive pas tous les jours, et il ne suffit pas d’être présent pour croire que l’on attendait que nous.
Au fait, on n’a pas beaucoup d’images en retour sur ce qui se passe à Shanghai. Serait-ce du domaine du confidentiel ? Il ne se passe pas un jour sans que je croise une personnalité de la filière viticole, du tourisme ou de la presse qui aille ou qui revienne de l’exposition universelle, et pas un seul retour vidéo, pas une seule annonce de nouveaux marchés, bref, j’ai bien peur que nous soyons un peu touriste sur ce coup.
Et si on se mettait à livrer des tankers de vin aux Chinois, il paraît qu’ils n’attendent que cela ! Juste une idée au passage pour que la crise ne soit pas une fatalité, et en plus, elle n’est pas de moi, mais d’un professionnel qui revient de Chine, lui aussi, mais avec des images !

Benoit Escoffier
Contact presse : bescoffier@vinomedia.fr

lundi 12 juillet 2010

Vinomedia prend pied en Chine


Après 2 ans de réflexion, et faisant suite à l’engouement suscité par l’exposition universelle de SHANGHAI, nous avons décidé de créer une agence commerciale en Chine pour aider les producteurs à exporter dans ce pays.
La Chine est une vaste région où la consommation de vin est en perpétuelle augmentation surtout motivée (contrairement à d’autres pays) par une action gouvernementale soutenue, afin de favoriser la consommation de vin au détriment des alcools forts.

Pour un producteur de vin, aller seul en Chine est un parcours du combattant, et d’un intérêt limité surtout lié aux problèmes de transport (remplir un container avec son seul produit n’est pas chose aisée), ainsi qu’aux problèmes de prospection.

Dans un premier temps, notre action se bornera à l’organisation d’un stand « Vignerons de France » sur plusieurs salons professionnels en Chine, l’accompagnement, ainsi que la mise en place logistique.Mais nous assurerons également le suivi par l’organisation des ventes auprès des professionnels de tous niveaux (importateurs, grossistes, cavistes et restaurateurs)
Ainsi, vous aurez la possibilité par notre intermédiaire d’exposer sur un salon à un prix très compétitif avec une organisation bien rodée, mais également de gérer efficacement les commandes futures par un regroupement de tous les participants Vinomedia-China.


La Chine vous intéresse ?

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Benoit Escoffier

contact : bescoffier@vinomedia.fr


lundi 5 juillet 2010

La TVA restauration à 5.5, pour ou contre


Depuis plusieurs jours, nous assistons à une avalanche de chiffres concernant les résultats d’un an de baisse de la TVA sur la restauration.
Au départ, l’idée était bonne pour relancer un secteur économiquement touché depuis plusieurs années, mais personne n’était dupe quant aux
promesses faites par la profession.
Au bout d’un an, quel est le bilan ?
- 3.5 milliards d’euros de recettes en moins pour le budget
- 21000 emplois crées
- Prix en baisse de 1.5% en moyenne (négligeable)

Pour connaître un peu le domaine de la restauration, je pense que ce domaine a les mêmes problèmes que tous les autres domaines, ni plus, ni moins.
Comment se fait–il que dans une même rue passante, un restaurant soit bondé et un autre vide ?
Si le restaurateur comprend que son métier, c’est à la fois une bonne cuisine, mais aussi un bon service, une bonne présentation et un bon accueil, alors son restaurant marchera et la baisse de la tva n’y changera rien.
Mais si ces principes de base ne sont pas perçus comme il se doit, alors la baisse de la tva n’y changera rien non plus, mais il cessera l’activité.
Donc, la baisse de la TVA est un faux problème. Un calcul simple : 21000 emplois au smic brut, c’est égal à 378 millions d’euros, et nous avons dépensé 3.5 milliards pour cela.
Cette mesure aurait pu être efficace si tous les restaurateurs avaient joué le jeu, mais nous en sommes loin. Très peu ont baissé les prix, très peu ont investi en rénovation, mais beaucoup ont gardé pour eux le différentiel de la TVA. Ou est le contrat d’avenir dans tout cela ?
Nous connaissons le chiffre d’affaires de chaque restaurant, donc nous connaissons le montant de la TVA économisée sur ce chiffre d’affaires. N’était–il pas possible de réagir au cas par cas et de donner cette économie de TVA uniquement sur preuve d’embauche, sur preuve d’augmentation de salaire ou d’investissement ?
Cette technique était possible, et nous aurions ainsi évité des abus, mal perçues aujourd’hui dans ces temps de chasse au gaspi, alors que certains restaurateurs ont pris au pied de la lettre le contrat d’avenir, fort heureusement pour la profession.

Benoit Escoffier
contact presse : bescoffier@vinomedia.fr